Il s’agit de Brene Brown qui parle du pouvoir de la vulnérabilité.
Ses recherches m’ont touchée et j’ai plaisir à te les partager.
Je vais essayer de te résumer les 20min inspirantes par mail...
J’espère que ça t’apportera autant de valeur qu’à moi.
Elle commence avec cet exemple :
Lorsqu’on te félicite pour 37 choses et qu’il n’y a qu’un point à améliorer.
Lequel tu gardes en tête ?
Le seul point à améliorer… bien sûr !
(Jusqu’à en faire une fixette et oublier les 37 bons.)
Elle continue en expliquant que c’est partout pareil :
Demandez aux gens de parler d’amour, ils te parleront de chagrin.
Demandez aux gens de parler de sentiment d’appartenance, ils te parleront d’exclusion.
Demandez aux gens de parler de relations humaines, ils te parleront d’isolement.
Elle a trouvé que ce qui détruisait ces connexions, ces histoires …
c’était la honte, la peur d’être rejeté.
On éprouve tous ça.
Et moins on parle de la honte, plus on la ressent.
Ce qui est à l’origine de ce sentiment,
qui nous dit « je ne suis pas assez »…
ce serait une atroce vulnérabilité.
Se montrer tel que l’on est. Imparfait.
Elle s’est rendu compte que la différence entre
ceux qui avaient un fort sentiment d’appartenance et d’amour,
et ceux qui ne l’avaient pas, c’était simplement :
le fait de croire qu’ils le méritent.
Comment ?
En vivant sans réserve,
avec ce sentiment profond de leur valeur.
Grâce à quoi ?
Au courage.
Le courage ayant pour définition originelle,
le fait de « raconter qui nous sommes de tout notre cœur ».
Pour elle,
les personnes de son 1er groupe d’étude avaient le courage d’être imparfaits.
Leur donnant la compassion pour les autres , vu qu’ils en avaient déjà pour eux…
Et cette authenticité,
leur permettant de créer plus facilement des connexions avec les autres.
Ces personnes croyaient toutes ceci :
c’est ce qui les rend vulnérables, qui les rend beaux.
La vulnérabilité n’est ni confortable, ni atroce.
Elle est (élementerre).
Le monde est vulnérable.
...
Voici quelques exemples de vulnérabilité assumée dans nos quotidiens :
La volonté de dire « je t’aime » le 1er
La volonté de se lancer dans quelque chose sans garantie de réussir,
La volonté d’attendre un coup de fil, sans retenir son souffle,
La volonté d’aller à la rencontre de quelqu’un sans savoir si ça va marcher ou pas,
….
Parfois, Souvent ,
il vaudrait mieux ne pas chercher à la contrôler, ni la prévenir.
Et comme la vulnérabilité nous fait peur, on a tendance à l’anesthésier…
Avec un bon alcool, un muffin à la banane, des médocs, de la surconsommation...
Le problème c’est que l’anesthésie n’est pas sélective.
Certes, on ne veut pas ressentir les émotions pénibles
(chagrin, honte, peur, déception...).
Cependant, on se prive autant des émotions positives de la vulnérabilité
(joie, gratitude, bonheur...).
Et finalement c’est le cercle vicieux. On est malheureux.
Plus nous sommes effrayés,
plus nous sommes vulnérables.
Nous recherchons un coupable,
pour se décharger de l’inconfort et de la douleur.
Elle parle de l’enfant qui vient au monde et qui « doit » être parfait .
Voici ce qu’elle lui dirait :
« Tu sais quoi ? Tu n’es pas parfait.
Et tu es conçu pour avoir des problèmes.
Mais tu mérites de recevoir de l’amour et d’être parmi nous.»
Et elle termine par :
Nous pensons à tort que nos actions n’ont pas d’impacts sur les autres.
Nos actions ont des conséquences immenses sur les autres.
Elle s’adresse aux entreprises, qui font n’importe quoi et leur demande d’oser dire
« je suis désolée, je vais régler ça. »
C’est pareil à titre personnel.
Elle nous encourage à :
* Oser se montrer. Se montrer vulnérable.
* Aimer de tout son cœur. Même s’il n’y aucune certitude.
* S’exercer à la gratitude et la joie dans les moments de terreurs.
* Se rendre compte du pouvoir de notre vulnérabilité.
Lui être reconnaissant, parce que c’est lui qui nous fait nous sentir vivant.
Not bad… right?
Alors je suis ses conseils pour réaliser ce site !
Et toi, Quel challenge cela te donne envie de relever ?
Quelle volonté souhaites-tu entreprendre ?
Je serai ravie de te lire :))
Belle semaine
Camille